« Paule du Bouchet fait un portrait bouleversant de cette mère obscure et incandescente, qui partagea pendant trente ans la vie de René Char, lui sacrifia ce qu’elle avait de plus cher et n’en fut pas remerciée. » Jérôme Garcin, L’Obs
« Une écriture dont la virtuosité donne le vertige. » La cause littéraire
« Paule du Bouchet dresse un beau portrait d'une femme insaisissable, éblouissante, portée par la passion et mère à ses moments perdus ; on sent toute l'émotion contenue quand elle évoque avec tendresse un père poète qui se sauve dans l'écriture. Mais on verra aussi dans ce récit un acte d'amour fou : Paule du Bouchet a commencé l'ouvrage au lendemain de la mort de Tina Jolas pour retrouver une mère, sa mère ; en désespoir de cause, pour enterrer l'histoire en lui donnant une sépulture dans le livre. Au passage, elle donne un éclairage sur la grandeur et les faiblesses terriblement humaines d'un Char héros de la Résistance, géant de la poésie.» Didier Cahen, Le Monde des livres
« C’est un petit livre dense écrit pour faire la paix. Un texte incandescent voulu comme un hommage à une mère. (…) Avec une plume poétique, Paule du Bouchet dessine les contours d’une mère qui disparaissait ou bien était “en instance de disparaître. D’être happée". » Alexandre Fillon, Lire
« Au plus près des émotions de l’enfance, Paule du Bouchet invoque ses souvenirs, quand sa mère était accaparée par un ogre nommé… René Char. Un récit clairvoyant sur l’abandon. » Marine Landrot, Télérama