• Luciano Martinis, artiste peintre, sculpteur et vice-président de la Fondation Isabella Scelsi, a fait la rencontre de Giacinto Scelsi au début des années 1980, alors qu'il était un jeune éditeur, fondateur de la maison d'édition Le parole gelate, à Rome. Tous deux se lient d'une profonde amitié et publient ensemble une réédition de trois petits livres en français. Le Poids net, L'Archipel nocturne et La Conscience aiguë (parus aux éditions Guy Lévis Mano entre 1949 et 1962), ainsi qu'un nouveau recueil de poésies et dessins. Cercles, en 1986, et des opuscules d'écrits divers. Avant sa mort, Scelsi confia bon nombre de ses papiers personnels à Luciano Martinis ; constituant ainsi un fonds précieux.
• Alessandra Carlotta Pellegrini a achevé ses études de musicologie à Rome. La musique italienne du XXe siècle a toujours été au centre de ses intérêts et de ses recherches. Pour l'éditeur Olschki, elle a édité l'édition critique du 21 + 26 d'Alfredo Casella (Firenze, 2001). Elle a travaillé à l'Archivio Luigi Nono et à I'lnstituto Goffredo Petrassi. Les résultats de ses recherches ont été présentés dans plusieurs congres internationaux. Responsable des activités scientifiques de la Fondazione Isabella Scelsi (Rome), elle va réaliser l'édition des Mémoires, des textes et des poésies de Giacinto Scelsi en italien, qui vont paraître aux Edizioni Quodlibet.
• Sharon Kanach, musicienne d'origine américaine, a été l'assistante de Giacinto Scelsi pendant les dix dernières années de sa vie, et coordonne encore aujourd'hui la publication de ses partitions pour les éditions Salabert. Les trois titres de Scelsi édités chez Actes Sud (Les anges sont ailleurs..., L'Homme du son et Il Sogno 101) se réalisent sous sa coordination. (Source éditeur)