« Chaque poème d’André Velter est une oasis, une halte privilégiée entre passé et présent, mythe et réalité. »
Jean Chalon / Le Figaro
« L’Arbre-Seul constitue l’une des entreprises lyriques les plus imposantes et les plus enrichissantes de ces vingt dernières années, et un ouvrage qu’il faut d’ores et déjà considérer comme un livre de chevet : une poésie de défi, d’épanouissement et d’extrême exigence. »
Alain Bosquet / Le Quotidien de Paris
« L’Arbre-Seul, vaste poème où le dépaysement joue de toutes ses gammes (…), un livre que je tiens pour exceptionnel dans la production déjà abondante et remarquée d’André Velter. (…) Une musique telle qu’il s’en entend peu, de ces jours. Et un document sur la qualité et la délicatesse de la vertu. »
Henry Deluy / Révolution
« L’Arbre-Seul que j’ai lu et relu m’a convaincu que la parole d’André Velter porte et portera sans cesse davantage. J’aime cette parole. »
Alain Jouffroy / France Culture
« Dans ce livre superbe où la diversité formelle n’a d’égale que la multiplicité de ses parcours, je n’ai pas aperçu une seule page, pas un vers, pas un mot qui soit en excès (…) tout y relève de cette nécessité interne qui fait la poésie, celle qui cherche et trouve son territoire dans « le songe d’un songe », dans un au-delà du regard qui sonde au plus profond la véritable humanité. Seuls les grands poètes du voyage, Claudel, Ségalen, Cendrars, Michaux savent mettre en relation l’Atlas géographique et l’espace du dedans »: André Velter est de ceux-là. »
Lionel Ray / La Nouvelle Revue Française
« Avec L’Arbre-Seul, André Velter signe sans doute son plus beau livre. (…) L’Arbre-Seul peut se définir comme l’expression d’une volonté qui cherche à embrasser tout le réel, à élaborer la définition d’un point d’où rayonnerait la totalité de l’humain. Quelque chose aussi comme une musique à la fois discordante et harmonieuse, et dans laquelle on plonge comme dans un bain de jouvence. »
Benoît Conort / Le Français dans le monde
« La poésie d’André Velter est perpétuel questionnement, remise en cause des cloisons de la réalité. Le lyrisme de L’Arbre-Seul est ambitieux: c’est à la fois une conquête de la langue et une réflexion sur la place du poète dans le monde et la littérature. »
Jean-Yves Reuzeau / Dictionnaire des œuvres du XXe siècle, Le Robert